Les experts ne sont pas toujours d'accord sur la signification des résultats affichés sur les écrans. Cette information est disponible uniquement pour les abonnés.
De nombreuses recherches sont menées sur les conséquences des écrans, ce qui préoccupe les parents et conduit à un consensus politique en faveur d'une régulation. Malgré cela, il reste difficile de déterminer la meilleure approche pour aborder ce sujet.
Écrit par Cécile Cornudet
Najat Vallaud-Belkacem a fait une démonstration remarquée en proposant une limitation de notre consommation hebdomadaire d'Internet à 3 Go. Cette proposition a suscité la polémique et a relancé le débat médiatique autour de l'usage des écrans. L'ancienne ministre de l'Education cherchait ainsi à faire parler d'elle après une longue période de silence. Bien qu'elle reconnaisse que cette mesure est irréaliste, elle a réussi à attirer l'attention sur un sujet qui suscite un fort intérêt sans pour autant être satisfait.
Les politiciens modernes ont tendance à suivre un schéma similaire. Ils analysent les sondages pour identifier les préoccupations des citoyens, puis abordent ces sujets en se positionnant comme des réformateurs pour répondre à leurs attentes. Emmanuel Macron a remarqué que 40 % des parents se sentaient dépassés par la quantité d'écrans auxquels leurs enfants sont exposés (Ifop).
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