Attal, Philippe et Le Maire sont tous comparables à Fillon de différentes manières. Vous devez être abonné pour accéder au contenu.
Gabriel Attal, Edouard Philippe et Bruno Le Maire rivalisent pour attirer les électeurs en mettant en avant leur engagement en faveur de la rigueur budgétaire, un sujet généralement peu populaire. Voici les raisons de cette compétition.
Écrit par Cécile Cornudet
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La première leçon de François Fillon en 2017 n'a pas encore été résolue. Il se demandait s'il pouvait contredire l'expression française selon laquelle on ne peut pas remporter une élection présidentielle en utilisant des tactiques agressives. Bien qu'il n'ait pas pu répondre à cette question à l'époque en raison de son scandale, trois potentiels successeurs d'Emmanuel Macron pensent que le message pourrait être efficace, même dix ans plus tard. Edouard Philippe, Bruno Le Maire et Gabriel Attal ne reculent pas devant l'idée de faire peur aux électeurs.
L'âge de la retraite pourrait être repoussé à 67 ans, selon une proposition récente. Bruno Le Maire a souligné qu'il ne devrait pas y avoir de remboursements médicaux illimités, tandis que Gabriel Attal a parlé d'une approche plus stricte. Ils semblent prendre du plaisir à évoquer ces mesures impopulaires, mais affirment que c'est pour le bien du pays.
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