Emmanuel Macron demande un compromis intelligent concernant la loi sur l'immigration. Il affirme que la France doit améliorer ses règles pour lutter plus efficacement contre l'immigration illégale et les trafiquants. Alors qu'Elisabeth Borne négocie avec Les Républicains dans un contexte de tensions au sein de la majorité, le président appelle à un compromis qui servira l'intérêt général.

Selon une source provenant des

Emmanuel Macron met une nouvelle pression sur Elisabeth Borne. Tandis que la Première ministre consulte intensivement depuis le début de la semaine pour trouver une solution au projet de loi sur l'immigration, le président a appelé ce vendredi, depuis Bruxelles, à un compromis intelligent qui servirait l'intérêt général.

Il a affirmé qu'il prendrait en compte les conséquences des négociations en cours avec l'opposition de droite au Parlement. Selon lui, il ne serait pas sérieux d'utiliser l'article 49.3 de la Constitution pour un texte sensible, étant donné que les oppositions ont tout fait pour éviter un débat. Il a utilisé cet article pour les retraites, mais il l'exclut pour l'immigration.

Le Parti socialiste et Les Républicains ont été fortement critiqués. Lundi, le gouvernement a subi un échec important à l'Assemblée nationale lorsque les partis d'opposition se sont unis pour rejeter l'examen de son projet de loi sur l'immigration avant même le début des débats.

Voici quelques informations supplémentaires à lire concernant le projet de loi sur l'immigration.

Emmanuel Macron a décidé de confier la tâche à une commission mixte paritaire (CMP) qui réunira des députés et des sénateurs de diverses tendances politiques. Le but de cette commission sera de trouver un compromis sur la base du texte adopté en première lecture par le Sénat, qui était plus strict. Le président a déclaré qu'il était favorable au résultat et au pragmatisme, sans donner plus de détails sur ses préférences dans les négociations tendues en cours avec le parti Les Républicains et les tensions au sein du camp macroniste.

Dans notre pays, il est nécessaire d'améliorer les règles afin de lutter plus efficacement contre l'immigration illégale, les trafiquants et ceux qui exploitent la misère du monde. Ces personnes affaiblissent notre système en le mettant sous une pression excessive. Il a également critiqué publiquement, tout comme il l'avait fait devant ses troupes, les deux forces politiques historiques qui ont pris une énorme responsabilité en choisissant de ne plus être historiques. Cela s'est traduit par leur décision de voter avec La France insoumise et le Rassemblement national.

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Il critiquait les Républicains et le Parti socialiste. Il a souligné que cela avait été un jeu d'obstruction et de refus de dialogue que les Français ne pouvaient pas comprendre. Il a également exprimé son incompréhension face à cette situation, car il estime qu'il est étrange de ne pas dialoguer, que l'on soit d'accord ou non.

Lorsqu'on lui a demandé si la Première ministre Elisabeth Borne et le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin étaient responsables, il a souligné que ce dernier avait toujours fait de gros efforts et que la cheffe du gouvernement avait réussi à engager des discussions avec sa majorité ainsi qu'avec les forces d'opposition prêtes à revenir pour trouver un compromis.

Selon une source de l'AFP citée par Les

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